Le taux de chômage des moins de 26 ans atteint 25%. C’est inacceptable pour eux, pour notre société et cela crée beaucoup de frustration et de désillusion. Cela engendre des comportements parfois radicaux, qui amènent à de la marginalisation ou aussi à la fuite de nos jeunes dans des pays étrangers. J’ai ainsi été interpellé par le titre d’un article paru dernièrement dans un grand titre de presse économique : « Les jeunes sont pessimistes pour la France et optimistes pour eux- mêmes »… s’ils évoluent en dehors de la France ! Il faut repenser tout le système en commençant par la formation et en offrant aux jeunes, à l’heure d’une société en 3.0 ou 4.0, des écosystèmes d’entreprises qui mettent en valeur le travail collaboratif associant nouvelles technologies de communication et un vrai relationnel fondé sur les valeurs humaines, l’expression, la capacité à créer et à innover…

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